Source Lyon Webzine : Lundi 1 août 2011
Aujourd’hui s’ouvre à Albertville un procès engagé par One Voice, association militant pour le droit des animaux, contre un élevage savoyard pour « acte de cruauté volontaire envers les animaux ».
Pour l’association One Voice, qui lutte pour le droit des animaux, c’est le grand jour, celui du procès contre le chenil savoyard, accusé d’actes de cruauté volontaire envers les animaux, au tribunal correctionnel d’Albertville. L’association a porté plainte suite à de macabres découvertes le 28 janvier dernier. Quand ils ont poussé la porte de cet élevage savoyard suite au signalement d’une morsure de chien en décembre dernier, gendarmes, pompiers, vétérinaires et associatifs ne s’attendaient en effet pas à de telles choses.
Attachés dans le noir dans des hangars ou dans des caves, sans eau, ni litière ni nourriture, 61 dogues du Tibet et trois ânesses survivaient, tétanisés. Secourus au plus vite par les services vétérinaires, ces animaux ont pourtant échappé au pire. Dans des sacs plastiques trainant par terre ou dans des congélateurs hors d’usage gisait une centaine de cadavres de chiens et de fœtus. L’élevage mis en cause devra notamment répondre « d’exercice volontaire de sévices graves ou d’un acte de cruauté, en l’espèce de la sous-nutrition jusqu’à la cachexie », un chef d’accusation qui peut valoir une peine de 2 ans d’emprisonnement et 30 000 euros d’amende, la confiscation définitive des animaux ainsi qu’une interdiction définitive de détenir un animal.
D’autres infractions ont également été retenues parmi lesquelles « exercice illégal de la médecine vétérinaire », « exploitation d’une installation sans autorisation », « défaut de tenue de registre de suivi sanitaire » et « détention de cadavres sans les avoir remis au service d’équarrissage ». Le procès doit se tenir aujourd’hui.
Aujourd’hui s’ouvre à Albertville un procès engagé par One Voice, association militant pour le droit des animaux, contre un élevage savoyard pour « acte de cruauté volontaire envers les animaux ».
Pour l’association One Voice, qui lutte pour le droit des animaux, c’est le grand jour, celui du procès contre le chenil savoyard, accusé d’actes de cruauté volontaire envers les animaux, au tribunal correctionnel d’Albertville. L’association a porté plainte suite à de macabres découvertes le 28 janvier dernier. Quand ils ont poussé la porte de cet élevage savoyard suite au signalement d’une morsure de chien en décembre dernier, gendarmes, pompiers, vétérinaires et associatifs ne s’attendaient en effet pas à de telles choses.
Attachés dans le noir dans des hangars ou dans des caves, sans eau, ni litière ni nourriture, 61 dogues du Tibet et trois ânesses survivaient, tétanisés. Secourus au plus vite par les services vétérinaires, ces animaux ont pourtant échappé au pire. Dans des sacs plastiques trainant par terre ou dans des congélateurs hors d’usage gisait une centaine de cadavres de chiens et de fœtus. L’élevage mis en cause devra notamment répondre « d’exercice volontaire de sévices graves ou d’un acte de cruauté, en l’espèce de la sous-nutrition jusqu’à la cachexie », un chef d’accusation qui peut valoir une peine de 2 ans d’emprisonnement et 30 000 euros d’amende, la confiscation définitive des animaux ainsi qu’une interdiction définitive de détenir un animal.
D’autres infractions ont également été retenues parmi lesquelles « exercice illégal de la médecine vétérinaire », « exploitation d’une installation sans autorisation », « défaut de tenue de registre de suivi sanitaire » et « détention de cadavres sans les avoir remis au service d’équarrissage ». Le procès doit se tenir aujourd’hui.
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