«C'est un état d'esprit parfaitement nouveau qui rend compte de l'évolution des usages de ces 20 dernières années», se félicite Jean-Claude Nouët, vice-doyen honoraire de la faculté de médecine Pitié-Salpêtrière et président de la Fondation droit animal, éthique et sciences.
«L'expérimentation animale reste nécessaire aujourd'hui car les méthodes de remplacement sont encore trop peu nombreuses, notamment en toxicologie, en pharmacologie ou en recherche fondamentale. Partant de ce constat, le texte permet d'assurer, autant qu'on le peut, le bien-être de l'animal», explique-t-il. La mise en place d'un Centre européen pour la validation de méthodes alternatives (CEVMA) doit parallèlement permettre le développement et la promotion des méthodes de substitution à l'expérimentation animale.
et cet homme prétend agir pour le droit animal !! il insiste.
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