Nous étions présent à Bordeaux pour la JIDA avec le collectif ACTA, place Saint Projet. A cette occasion, ARDA représentait localement le collectif International Campaigns.
Les rues étant très fréquentées nous avons eu beaucoup de visiteurs et d’échanges intéressants. Nous avons distribué le tract spécifique JIDA.
Cette journée est un évènement mondial pour sensibiliser le public sur les droits des animaux et informer sur les alternatives sans cruauté (recherche scientifique, habillement, alimentation etc)
De nombreuses pétitions étaient à disposition. Nous avons, entre autres, recueilli des signatures pour la Déclaration Universelle des Droits des Animaux (UDAR)
Les visiteurs avaient aussi à disposition de la documentation sur la fourrure, la vivisection, les élevages, la corrida. Nous proposions également des autocollants et des badges pour faire connaitre cette campagne.
Plusieurs personnes que nous avons rencontrées étaient végétariennes. Cela se produit souvent : Les personnes qui s’abstiennent de viande sont plus nombreuses qu’on le croit.
Néanmoins, le spécisme est une discrimination bien ancrée dans l’esprit des gens. Certains sont contre la fourrure mais pour la vivisection ou contre la vivisection mais pour la corrida.(nous avons de tel cas)
La plupart du temps, nous avons rencontré des gens ouverts. Un végétarien n’avait pas conscience de la souffrance animale dans les cirques. Nous l’avons informé sur les méthodes de dressage et les conditions de détention. Convaincu par les arguments, il nous a remerciés pour ces informations.
Une femme nous a demandé « Je suppose que vous êtes tous au moins végétariens, sinon, ce ne serait pas cohérent ! » Nous avons répondu par l’affirmative, les militants présents étant végétariens ou végétaliens.Des personnes sont venues partager leur vécu comme la visite d’élevage ou d’abattoirs.Il était aussi important de rappeler que les élevages bios étaient eux aussi synonyme d’exploitation et de souffrance.
Nous avons eu droit aussi à un visiteur très haineux envers nous, grand amateur de foie gras et de corrida. L’énergumène bedonnant nous a fait l’apologie de cette forme de cruauté, fier que la France représente ces « patrimoines » qui seront « toujours là quand nous, nous aurons crevés » (textuellement)
Heureusement, ce genre de rencontre est assez rare.
Plusieurs personnes ont demandé si d’autres stands avaient lieu sur Bordeaux .
Nous avions disposé plusieurs panneaux sur la fourrure, la vivisection, les cirques, la corrida et les abattoirs.
Merci à ACTA d'avoir organisé cet évenement avec nous et aux militants présents.
Les rues étant très fréquentées nous avons eu beaucoup de visiteurs et d’échanges intéressants. Nous avons distribué le tract spécifique JIDA.
Cette journée est un évènement mondial pour sensibiliser le public sur les droits des animaux et informer sur les alternatives sans cruauté (recherche scientifique, habillement, alimentation etc)
De nombreuses pétitions étaient à disposition. Nous avons, entre autres, recueilli des signatures pour la Déclaration Universelle des Droits des Animaux (UDAR)
Les visiteurs avaient aussi à disposition de la documentation sur la fourrure, la vivisection, les élevages, la corrida. Nous proposions également des autocollants et des badges pour faire connaitre cette campagne.
Plusieurs personnes que nous avons rencontrées étaient végétariennes. Cela se produit souvent : Les personnes qui s’abstiennent de viande sont plus nombreuses qu’on le croit.
Néanmoins, le spécisme est une discrimination bien ancrée dans l’esprit des gens. Certains sont contre la fourrure mais pour la vivisection ou contre la vivisection mais pour la corrida.(nous avons de tel cas)
La plupart du temps, nous avons rencontré des gens ouverts. Un végétarien n’avait pas conscience de la souffrance animale dans les cirques. Nous l’avons informé sur les méthodes de dressage et les conditions de détention. Convaincu par les arguments, il nous a remerciés pour ces informations.
Une femme nous a demandé « Je suppose que vous êtes tous au moins végétariens, sinon, ce ne serait pas cohérent ! » Nous avons répondu par l’affirmative, les militants présents étant végétariens ou végétaliens.Des personnes sont venues partager leur vécu comme la visite d’élevage ou d’abattoirs.Il était aussi important de rappeler que les élevages bios étaient eux aussi synonyme d’exploitation et de souffrance.
Nous avons eu droit aussi à un visiteur très haineux envers nous, grand amateur de foie gras et de corrida. L’énergumène bedonnant nous a fait l’apologie de cette forme de cruauté, fier que la France représente ces « patrimoines » qui seront « toujours là quand nous, nous aurons crevés » (textuellement)
Heureusement, ce genre de rencontre est assez rare.
Plusieurs personnes ont demandé si d’autres stands avaient lieu sur Bordeaux .
Nous avions disposé plusieurs panneaux sur la fourrure, la vivisection, les cirques, la corrida et les abattoirs.
Merci à ACTA d'avoir organisé cet évenement avec nous et aux militants présents.
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