Il est bien triste de constater qu'en France, le paradoxe est un art qui se cultive, même au sein des associations de protection animale. Sous cette appellation, on trouve de tout, mais majoritairement des gens qui viennent en aide aux chiens et aux chats, ce qui en soit, est une bonne chose et heureusement qu'ils existent.
Malheureusement, quand on gratte le vernis, on se rend compte que le mot "animal" n'a pas la même signification pour tout le monde.
En effet, de nombreux "protecteurs des animaux" s'offusquent de voir les chinois torturer des chiens pour les manger mais ne ressentent aucune empathie pour le cadavre d'un veau sur l'étalage du boucher.
Car oui, en France, on assume totalement ce paradoxe. Cela s'appelle du spécisme, mal qui ronge une grande partie des associations pro-animaux.
Pourquoi décapiter un chien semble plus choquant que le faire sur un veau? Pourquoi caresser d'une main et tuer de l'autre ?
Malheureusement, quand on gratte le vernis, on se rend compte que le mot "animal" n'a pas la même signification pour tout le monde.
En effet, de nombreux "protecteurs des animaux" s'offusquent de voir les chinois torturer des chiens pour les manger mais ne ressentent aucune empathie pour le cadavre d'un veau sur l'étalage du boucher.
Car oui, en France, on assume totalement ce paradoxe. Cela s'appelle du spécisme, mal qui ronge une grande partie des associations pro-animaux.
Pourquoi décapiter un chien semble plus choquant que le faire sur un veau? Pourquoi caresser d'une main et tuer de l'autre ?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire