La journaliste Anne de Loisy l'a admis : les grands groupes dirigeants des abattoirs n'aiment pas que l'on vienne enquêter sur leurs méthodes. Un milieu "opaque" comme le dit la journaliste.
Elle reconnait qu'en raison des cadences de travail à respecter, "les animaux sont encore vivants lorsqu'ils passent à la tronçonneuse." Peu de vétérinaires sur place : les abattoirs se contrôlent eux même, ils font donc ce qu''ils veulent entre leurs murs.
La journaliste semble peu compatissante : elle a juste réduit sa consommation de viande et dédicace un livre à ceux qui travaillent dans la filière de la viande !
Son interview ICI
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