Stand pour les droits des animaux

Samedi 13 juin , rue Victor Hugo à Saintes :

Plusieurs de nos sympathisants sont venus s’informer une fois de plus.
Nous avons distribué en priorité la listes des produits non testés sur animaux ainsi que les solaires éthiques.
Nos visiteurs ont pu signer plusieurs pétitions ( contre la fourrure, l’expérimentation animale, les longs transports d’animaux, le projet REACH)

Une jeune femme a posé plein de questions et a feuilleté notre classeur de photos. Ses amies sont tombées de haut quand elles ont appris que tous les cosmétiques qu’elles utilisaient étaient testés sur animaux.

Un homme a regardé les photos des animaux gavés pour le foi gras. D’après lui, il n’y avait rien de mal à cela puisque cette pratique existait depuis longtemps. Il nous a aussi reproché de ne pas nous occuper des humains. Nous avons répondu que nous " traitions le mal à la racine ".

Un jeune homme de Perpignan avait déjà vu ce genre de stand dans sa ville mais ne s’était jamais arrêté pour s’informer. Cette fois ci, il a signé les pétitions.

Nombreux sont ceux qui ont admis que les médias ne montraient jamais ce genre de photos.

Nous avons commenté les photos des panneaux afin d’expliquer dans quel contexte elles avaient été prises. (laboratoires, élevages etc..)

La nouvelle et surtout cruelle directive européenne a été également expliquée au public.http://semaine-mondiale-animaux-laboratoire.org/news/news/vivisection--sale-.html)

Ce dernier a aussi été informé que des tests sont aussi pratiqués pour la nourriture humaine et animale.

Bravo Zavatta

Article paru dans le journal Sudouest : 20 juin 2009

À la scène, Fabrice Kerwich est clown. Hier(...) ce patron de cirque comparaissait pour des violences n'ayant pas entraîné d'incapacité totale de travail et des menaces sur deux personnes chargées d'une mission de service public : deux agents des services vétérinaires de la Gironde.

Le 30 septembre 2008, le cirque de la famille Kerwich venait de s'installer à Canéjan-La House lorsque les fonctionnaires se sont présentés pour un contrôle inopiné. (...). La femme a fait plusieurs observations qui ont inquiété le patron du cirque : un cheval attaché par le cou, la cage des lions trop petite, celle du singe aussi. Fabrice Kerwich reconnaît qu'il a « pété les plombs », qu'il a eu peur que le spectacle du soir ne puisse pas avoir lieu.

(...)Le propriétaire du chapiteau a donc ouvert la cage du petit singe et a lâché l'animal dans les jambes de la femme fonctionnaire qui a eu très peur. Il a proféré des menaces. Il a fait sortir le chameau de son enclos. Il est aussi allé chercher un fusil dans sa caravane. Le prévenu soutient qu'il n'a pas visé les deux agents, qu'il n'a pas pointé le fusil en leur direction et qu'il avait simplement l'intention d'abattre les fauves, puisqu'ils étaient trop à l'étroit. Hier l'avocate des services vétérinaire, Me Sylvie Bourdens, a demandé en vain une requalification des faits en tenant compte des arrêts de travail.

Auteur : Christine Morice

Résultat : 6 mois avec sursis !